Le Korat, chat indépendant vous irait parfaitement si vous cherchez un animal de compagnie autonome. Pensez tout de même qu’il vous faudra prévoir un budget pour ses traitements en cas de maladies ou d’accidents.
Quelle formule choisir pour votre chat et pour vous parmi la multitude de prestations de d’assurance animale? Le Mammouth déchaîné vous aide à faire votre choix.
Les soucis de santé courants chez le Korat
Gangliosidose
La gangliosidose est une maladie héréditaire qui existe sous deux formes (GM1 et GM2). Elle est due à un dysfonctionnement d’un enzyme qui entraîne une accumulation de substances toxiques dans le cerveau des chats atteints. Les premiers symptômes apparaissent chez les chatons vers l’âge de deux ou trois mois. Le chat présente des tremblements d’abord au niveau de la tête suivis de difficultés de coordination (ataxie). Son état s’empire progressivement, conduisant à une paralysie, une cécité et des crises d’épilepsie. Cette pathologie est mortelle et ne peut être traitée. Un test préventif ADN (test sur sang ou urine) permet de dépister les deux formes de cette pathologie ainsi que les porteurs sains, il est alors recommandé d’éviter leur reproduction.
Le Korat ou le Si-Sawat, un chat sacré par nature
Le Korat est un chat d’origine thaïlandaise. Il est considéré dans son pays d’origine comme un porte-bonheur. Il est par ailleurs garde-grenier et présage de récoltes abondantes. C’est en partie à cause de la couleur de sa robe et de celle de ses yeux qu’on lui attribue cette grâce. Anecdote : en Thaïlande, l’estime pour les chats était telle qu’il leur a été consacré un manuscrit : le « livre du Chat ».
Élégant et très intelligent, le Korat est un chat qui cohabite avec les hommes depuis plusieurs siècles.
L’attachement au maître dont il fait montre est ce qui justifie son pseudonyme « Chien-chat ». Le Korat est par ailleurs un chat d’intérieur. Il n’est pas vagabond du tout, et déteste les regroupements de personnes. Ce sont des animaux très calmes. Par contre, son amour du jeu et sa vivacité peuvent vous étonner. Sa capacité à deviner ce qu’on attend de lui est preuve de son incroyable intelligence. Il aime qu’on lui montre de l’affection et n’est pas contraignant quant à son pelage.
Le Korat atteint sa majorité à l’âge de 3 ans. Sa taille moyenne ne nuit en rien à ses muscles qui sont fournis et puissants. Il a une forme ronde et une poitrine large. Ses grandes oreilles sont perchées sur la tête. Sa queue est moyennement longue et son pelage est court de couleur bleue. Un bleu argenté sur le museau, la queue et les pattes. Le Korat a des yeux arrondis, écartés et ouverts. Ils ont une couleur verte mais avant leurs deux ans, ils sont de couleur ambre.
Il faut savoir que cette race de chat supporte difficilement les changements climatiques. Les vaccins leur permettent de soigner leurs troubles respiratoires à répétition. Pour la bonne santé de votre Korat, optez pour une alimentation saine et variée.
Une assurance santé pour votre chat de race Korat
Subvenir aux besoins de votre Korat après avoir dépensé en moyenne 1450 € pour l’obtenir peut se révéler coûteux. En effet, ses problèmes respiratoires à répétition feront rapidement grimper la facture chez le vétérinaire.
Pour lui offrir les garanties d’une parfaite santé, il convient donc de l’assurer. Pour profiter de cette prestation santé, vous devez épargner chaque mois 6 € minimum. Vous pourrez dès lors être remboursé totalement ou partiellement des frais vétérinaires engagés, par votre assurance, en fonction du contrat souscrit.
J’ai décidé de rejoindre Thomas dans la création du Mammouth Déchaîné pour l’idée de faire avancer le bien-être animal. Cette cause m’a toujours touchée et cela fait maintenant des années que je suis actif au travers de diverses communautés en ligne ou au travers d’associations locales.
Je suis très heureux de pouvoir partager avec vous mon expériences sur le bien-être animal et les soins que nos chiens et chats nécessitent. Cela en puisant dans mes connaissances personnelles, mais surtout en m’appuyant sur des médias fiables et du contenu écrit par des vétérinaires certifiés en profession. Je pense bien sûr à l’AFVAC, mais aussi conseilsveterinaire.com, crée par un docteur vétérinaire depuis 1983, et bien d’autres sources de référence. Ma compagne est vétérinaire de formation, et travaille désormais à l’INRAE.
Dans les pages et colonnes du Mammouth Déchaîné, mon rôle n’est pas de prodiguer des conseils vétérinaires, à chacun son métier, mais plutôt de sensibiliser les propriétaires sur la responsabilité que représente l’adoption d’un animal de compagnie, et de les guider s’ils doutent sur les bonnes pratiques à adopter. J’appuie aussi Thomas sur WordPress et les problématiques de référencement. Du reste, les récents développements législatifs concernant la protection animale me mettent du baume au cœur !